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Fer et Traditions choisit Almacam pour accompagner son développement.

Face aux défis industriels et économiques auxquels les sous-traitants sont plus que jamais confrontés, la polyvalence, le service au client et le choix des bons outils sont les clés pour aller de l’avant. Fer et Traditions l’a bien compris, en investissant dans des moyens de production complémentaires et modernes, en misant sur des délais courts et en choisissant la solution Almacam pour optimiser la productivité de son activité Découpe. Témoignage de Valentin Brouard, co-gérant et directeur technique de l’entreprise.

Bonjour Monsieur Brouard, quelle est votre activité et de quelles machines êtes-vous équipés ?

Fer et Traditions est une entreprise de sous-traitance en métallurgie de 20 personnes basée à Montier en Der en Haute Marne. Nous travaillons dans un rayon d’environ 150 km, principalement auprès d’une clientèle de proximité que nous pouvons livrer très rapidement.

Notre parc machines nous permet de traiter une large palette de besoins en tôlerie et mécano-soudure, grâce notamment à deux machines de découpe laser Mazak, une machine de découpe plasma-oxycoupage, six ateliers d’assemblage de mécano-soudure, une presse plieuse de 4 m / 220 tonnes, un atelier d’usinage avec deux centres d’usinages et trois tours numériques, une cabine de peinture et une cabine de sablage. Nous venons d’investir dans du matériel de cintrage de tubes, à savoir une grosse cintreuse non numérique pour les grosses sections et une cintreuse à CN pour des diamètres plus petits.

Près de la moitié des pièces qui sortent de chez nous sont des pièces finies, peintes et emballées, qu’il n’y a plus qu’à livrer.

Comment en êtes-vous arrivés à vous équiper d’Almacam ?

Nous utilisions jusque-là un logiciel d’origine italienne pour nos machines laser, et un autre logiciel plus ancien pour la machine plasma-oxycoupage, ce qui compliquait la programmation. L’éditeur du premier ne s’est pas montré très commercial ni très professionnel quand nous avions des soucis. Quand nous appelions la hotline nous tombions sur des interlocuteurs parlant italien ou anglais, ce n’était pas pratique. Et le coût de la mise à jour de son logiciel était prohibitif.

Par ailleurs nous avions déjà des modules Alma qui marchaient bien : act/Shapes pour le développement des formes de chaudronnerie, utilisé par exemple pour du croquage de tôles découpées en laser, act/Sign pour transformer des dessins vectoriels en contours à découper comme du lettrage ou des logos. Nous étions très contents des services d’Alma aussi nous étions prêts à essayer Almacam, un logiciel français de dernière génération. La démonstration a été très convaincante et nous avons décidé de nous lancer.

L’idée était de piloter toutes nos machines avec le même logiciel pour simplifier la programmation, notamment en centralisant les données liées aux pièces et aux tôles, et de gagner du temps. Nous avons donc basculé sur Almacam en mai 2019.

Une girouette en métal telle que celles que fabrique Fer et Traditions à l'aide du module Sign qui permet de découper des images vectorisées.

Comment utilisez-vous le logiciel au quotidien et quelles améliorations avez-vous constaté ?

Nous avons deux licences complètes du logiciel pour la programmation et une licence « poste atelier » qui permet aux opérateurs de clôturer les tôles après découpe et de déclarer les pièces en rebut, qui seront alors mises à jour dans la base de données d’Almacam. Nous avons SolidWorks en CAO et les géométries des pièces à découper sont transmises à Almacam au format DXF.

Nous sommes deux personnes « et demie » à utiliser le logiciel. Les utilisateurs à plein temps d’Almacam sont polyvalents et capables de travailler sur n’importe quelle machine. Nous travaillons toujours dans l’urgence, on nous appelle par exemple à 11h le matin pour venir chercher à 12h30 une pièce d’oxycoupage… C’est d’autant plus important pour aller vite !

En termes de gains obtenus, on peut parler de la coupe commune en laser, qui marchait très mal avec le précédent logiciel et qu’Almacam gère très bien. Nous l’utilisons sur des pièces longues et fines, cela représente de sérieuses économies de temps et d’argent. La gestion des stocks de tôles, que nous faisions avant sur un tableur Excel de manière assez archaïque, est beaucoup plus rapide avec Almacam. Plus généralement, cet aspect traçabilité du logiciel est vraiment intéressant pour nous : retrouver une commande, pouvoir refaire une commande déjà faite… En tous points nous sommes contents du logiciel.

Nous étions très contents des services d’Alma aussi nous étions prêts à essayer Almacam, un logiciel français de dernière génération. La démonstration a été très convaincante et nous avons décidé de nous lancer. L’idée était de piloter toutes nos machines avec le même logiciel pour simplifier la programmation, notamment en centralisant les données liées aux pièces et aux tôles, et de gagner du temps.

Comment jugez-vous la prestation d’Alma ?

Notre montée en compétences sur le logiciel s’est bien passée. La formation a été efficace et les utilisateurs ont été vite très à l’aise avec Almacam. Le technicien d’Alma qui a fait l’installation du logiciel a été très professionnel et est resté très disponible ensuite. Mais aujourd’hui nous n’avons quasiment plus besoin d’appeler la hot line. En parallèle nous avons fait remonter quelques petites demandes d’amélioration. Nous sentons qu’Alma est très à l’écoute et dans une démarche d’amélioration continue.

Vos projets pour le futur ?

Une troisième licence d’Almacam est en cours d’acquisition, ce qui nous donnera encore plus de souplesse dans l’utilisation du logiciel. Nous sommes équipés du logiciel ERP Clipper en version 6 pour la gestion de commandes et nous prévoyons de faire une mise à jour cette année. Nous envisagerons alors d’intégrer la passerelle directe entre Clipper et Almacam. Comme pour la gestion des stocks, cela pourra nous faire gagner le temps perdu en ressaisie des données et nous évitera des risques d’erreurs.

Du côté des investissements dans l’atelier, nous réfléchissons à faire rentrer une machine de découpe de tubes pour compléter nos prestations. Car sans être spécialisés, le fait d’être polyvalents avec la découpe, le pliage, le soudage, l’usinage, le parachèvement… et d’être capables de livrer des pièces finies nous permet de gagner des marchés.

Nous avons du travail et l’activité est plutôt bonne pour nous, mais dans cette logique d’extension de notre offre voire de diversification, nous lançons une activité de conception et de fabrication de mobilier urbain. Nos moyens de conception et notre outil de production sont bien adaptés, c’est maintenant une démarche commerciale à mettre en place. Nous avons lancé un site web pour nous faire connaitre, et nous comptons bien sur Almacam pour nous aider à développer ce marché.

 

www.ferettraditions.com

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